Oh regarde cette braise
Au fond de ce grenier abandonné
Oh mais elle prend ses aises
Et se consume avec tranquillité
Oh satanée braise
Rouge comme de la terre glaise
Tes lèvres de feu
Et ton regard langoureux…hum…
Et tu veux que je me taise !
Que je me taise comme toi
Qui a perdu cette douce voix
Mais pourquoi as-tu donc perdu ta flamme ?
Qui était au plus profond de ton âme
Oh mystère d un poème sans trame
ou ciel
Ciel
Oh vaste ciel
De tes magnifiques étoiles
Tu nous fais ton miel
Et nous dresse cette large toile
Toile s’il en est singulière
D’où transparaît toutes les lumières
Lumière du jour, lumière de la nuit
Lumière de la vie
Oh madame ciel
Vous êtes si belle
Mais pourquoi tant de distance
Et une telle arrogance ?
Arrogance, non
Seulement de l’impatience
Car madame est d’humeur changeante
Qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente..
Nessun commento:
Posta un commento